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il y a 3 ans
Pour mes premiers contacts entre femmes, épilation et .....
Comme chaque année, je dois encore et toujours aller passer mes vacances avec ma tante et mon oncle au camping de la côte bleue... Vingt ans que j'y vais, mais c'est vrai que ça dépanne bien, c'est pas loin de là où j'habite et dépaysement total à chaque fois, et à l'oeil en plus ! Je pose ma tente à côté du mobil-home et hop ! le tour est joué, et comme je ne les vois pas souvent, ça me fait toujours plaisir de les revoir et c'est très sympa comme ambiance. Avec les animations toute la journée, les deux piscines, la plage, le karaoké et les soirées dansantes plus les amis que je revois chaque année, je ne me plains pas !
Je viens d'avoir mon BTS de commerce international et j'ai signé ma promesse d'embauche. Tout va bien à bord ! Je me sens au top de ma forme, sauf que je suis encore et toujours seule. J'ai bien eu quelques copains mais aucun n'est resté plus de deux mois avec moi et il remonte à longtemps, le dernier ! Oui, c'était ici, l'année dernière avec un mec désespéré de ne pas avoir tiré de tout l'été, comme moi.
C'est donc confiante que j'attaque cette nouvelle saison et surtout le montage de ma tente. Toujours la même galère, le tube n° 1 avec le tube n° 2, le tube avec le caoutchouc vers le sol, et ça ne va pas, évidemment. Après que j'aie lâché quelques jurons, mon oncle arrive de la pétanque avec son partenaire du concours quotidien et ils se proposent de m'aider à construire ce duplex, T4 avec vue sur la voiture et sortie sur le mobil-home. Heureusement qu'ils sont là, ces deux-là, autrement j'aurais pété un câble, sérieux ! Et le pire, c'est qu'ils savent y faire.
En deux minutes ma tente est montée avec le coin-cuisine et le sol. Ils sont déjà tout bronzés, ils sont costauds (faut dire que mon oncle est super bien conservé pour son âge)... Ça y est, je me reprends à fantasmer sur les mecs âgés. Déjà, en cours, ça m'est arrivé plusieurs fois de rêver sur tel ou tel prof, de savoir comment il pouvait être, nu, sous la douche ou sous la couette, et l'idée de le savoir ne me déplaisait pas non plus, je dois avouer. Je dois reconnaître aussi que c'est la première fois que je trouve mon oncle aussi sexy, je dois avoir pris de la maturité, faut croire ! Son partenaire aussi, la cinquantaine comme mon oncle mais bien conservé, un peu trop macho à mon goût mais bien costaud, on doit se sentir bien peu de choses dans ces bras-là.
— L'apéro de midi, pour les amis ! lance mon oncle à la cantonade.
Ma tante sort tout l'attirail à pochtron et mon oncle commence à nous servir. Tout le monde est au pastis. Allez, c'est la fête, un pour moi aussi ! Même ma tante en prend un. Moi qui ne l'avais jamais vue boire de l'alcool. Les temps changent, on dirait...
Après quelques discussions sur les pétanques du matin, Jacques dit qu'il doit rentrer ; il doit préparer le barbecue (à gaz évidemment, comme le dit l'animateur chaque matin !).
Quand j'ai fini de ranger mes affaires, ma tante me suggère de me mettre à l'aise. J'enfile mon maillot jaune fluo (photo sur demande) et retourne m'installer pour le repas. C'est vrai qu'il est quand même pas mal pour son âge, le tonton. Brun, la cinquantaine bien posée à son avantage, un peu de bide mais bon, c'est pas choquant non plus et toujours ce superbe sourire. Du coup, je regarde le couple dans leur unité et m'aperçois que ma tante est pas mal non plus, bien dans son corps et dans sa tête. Plus que physiquement, elle est belle mentalement et toujours heureuse de vivre. C'est ce qui fait tout son charme. Toujours prête à tout, ouverte, disponible, gentille et affectueuse. C'est certain qu'elle accuse un excédent de poids mais son âge et la gaieté qui rayonne autour d'elle me pousse à penser qu'ils forment un beau couple.
— Allez, mange, que tu es toute maigre, ils ne te donnent pas à manger tes parents ? — Mais, tu sais, tonton, je vis seule maintenant et c'est moi qui me prépare à manger . — Ben, tu as intérêt à manger. Tu as la peau sur les os. Si tu veux maigrir, il faut qu'on te coupe un bras pour que tu perdes du poids... — Arrête, tu vois bien qu'elle est bien, pas comme moi, avec tous mes kilos en trop, dit ma tante. — Enfin, on dirait un fil de fer, tu vois pas ? — Mais non, elle est toute belle, regarde là, elle est superbe, notre Marjorie, un vrai canon de beauté et jeunesse. — Oui, oui, mais faut qu'elle mange !
J'ai adoré ma tante sur ce moment-là, et je l'ai trouvée elle aussi resplendissante de beauté et d'amour. Mon oncle aussi, d'ailleurs, car c'est par amour qu'il me dit cela. D'autant plus que je ne me trouve pas si fine que ça avec mon 1 m 76 et mes 59 kilos, d'aucuns diraient presque dans la normale. En plus, avec mon teint blafard à côté du leur, c'est sûr que je fais pitié ! Comme il vaut mieux faire envie que pitié, je termine mon assiette en pensant leur faire plaisir.
— Alors, concours de pétanque avec moi ou plage avec ta tante ? — Plutôt option plage, tonton, je suis toute blanquinasse. — Tu viendras jouer quand même ? — Oui, oui, bien sûr, je suis venue aussi pour gagner le concours. On jouera ensemble ? — Jacques et toi et moi, ils font des triplettes deux fois par semaine. — Ok, je pointe ou je tire ? — Tu pointes, et nous on tire, ok ? — Ok, ça me va... C'est quand alors qu'on pointe et qu'on tire pour s'entraîner ? Je n'ai pas joué de toute l'année... — Quand tu veux, nous c'est tous les jours, du premier juillet au 31 août. — Fin d'après-midi ? — Ok, à la pinède vers 18 heures.
Le rendez-vous était pris. Arrive le dessert, et avec ma tante nous parlons de la plage et qu'il valait mieux aller vers Sausset-les-Pins. Chose dite, chose faite, serviette dans le sac, nous voilà parties. Les vacances se goupillaient bien : plage, pétanque.
Chaque pas est laborieux tellement la chaleur est forte, j'avais oublié ça. Sur la plage, je peux voir ma tante. Elle est superbe dans ce maillot bleu ciel de grande marque avec la serviette assortie.
— Ouh, il faut se mettre de la crème, tu en as au moins ? — Oui, bien sûr. — Tu m'en mets sur le dos, s'il te plaît ? — Ok.
Elle enlève un peu les bretelles de son maillot et me dit qu'on va commencer par le dos. Alors, je mets la crème solaire et la passe sur tout son dos jusqu'en haut des reins.
— Merci. À moi maintenant, à moins que tu préfères que ce soit quelqu'un d'autre qui le fasse ? — Qui ?
Allongée sur la serviette, ma tante vient s'asseoir sur mes jambes ! Rrrrrrrr put... elle est lourde quand même !
Elle dégrafe mon maillot et me passe la crème solaire bien comme il faut, peut-être même trop ! Comme quand elle sert les plats, il faut dire stop à la première cuillère pour en avoir quatre de plus ! Ouf, elle est retournée sur sa serviette. J'ai l'impression d'avoir maigri, au moins vingt kilos en deux minutes !
Et on commence à papoter, on aime bien bronzer mais on n'aime pas se baigner, alors la discussion va bon train. Tout y passe avec les conseils avisés de ma tante, les études, le boulot, la famille, les amis, les loisirs... C'est un vrai moulin à paroles, elle n'arrête jamais, mais je bois ses paroles de sagesse.
Il y a du monde sur cette plage, c'est impressionnant ! Le pire c'est que je pense tous les avoir déjà vus. Si c'est pas à Marseille, c'est à Aix, ou bien alors ici l'année dernière. Et en plus, ils viennent tous en famille, pas un seul beau mec célibataire en vue ! Grrrrrrr...
Après avoir fait les tournedos, à cuire d'un côté puis de l'autre, nous avons décidé de rentrer au camping. On file à la douche. Cool, personne ! Deux douches de libre, et l'une à côté de l'autre en plus. Négociation de douche et nous voilà sous le jet chaud.
— Marjorie, j'ai oublié le shampooing, tu en as ? — Oui. — Tu me le passes ? — Oui, mais comment ? — Ben, passe-le-moi.
Allez, opération commando, serviette nouée, je me faufile d'une douche à l'autre. Hop, opération réussie, mon capitaine ! Et je tombe sur ma tante nue, mouillée. Je reste en contemplation devant elle. Malgré son âge, elle dégage quelque chose, c'est évident. Sa poitrine, opulente et bronzée, tombe, faut dire qu'avec ses cinquante-cinq ans, c'est normal. Je ne sais pas ce qui se passe mais cette vision me fait frissonner, me trouble.
— Bon, alors tu me le donnes ce shampooing ? — Oui, oui, voilà... tiens. Pétard, tu as vachement bronzé... — Je sais ! On voit bien la marque du maillot ! C'est dommage d'ailleurs ! Mais t'inquiète pas, tu l'auras toi aussi. Tu dois même déjà l'avoir, non ? — Oui, un peu...
Je retourne dans ma douche, un peu choquée d'avoir vu ma tante nue. Mais je pense que ce qui m'a le plus étonnée, c'est qu'elle s'épile entièrement. Je m'attendais à ce qu'elle ait une toison bien fournie, mais non, elle avait un minou tout lisse. Plein de questions fusent dans ma tête : pourquoi elle s'épile, est-ce que ça fait mal, est-ce que c'est mieux, comment fait-elle... Je n'en ai jamais parlé à quelqu'un, peut-être que je pourrais lui demander une autre fois.
De retour à l'emplacement, je me change pour rejoindre mon oncle et Jacques à la pinède. Je laisse mes affaires dans le mobil-home à cause des risques de vol et m'habille dans la petite chambre, si exiguë qu'on se cogne de tous les côtés quand on met un tee-shirt ou un pantalon, et pas pratique du tout si on veut se faire pomponnette ! Donc, je mets un short bleu clair, un tee-shirt blanc assez moulant qui montre bien mon piercing au nombril et des petites baskets blanches.
Les deux boulistes sont encore en train de se chamailler pour des points oubliés, je les reconnais bien là ! Toujours les mêmes tous les deux, mais ils s'adorent.
— Ah, voilà la plagiste ! Il était temps... Je croyais qu'elle nous avait oubliés parce qu'on est trop vieux ! — Mais non, tonton, regarde, je suis là et presque à l'heure, en plus. — Allez, dépêche de prendre les boules et de nous montrer que tu n'as pas tout perdu depuis l'année dernière, autrement on change de partenaire. — Ben, vous allez voir ce que vous allez voir...
L'entraînement commence, je ne pointe pas très bien mais bon, je me débrouille. Mon oncle me chambre à chaque point manqué.
— J'espère qu'il y a d'autres choses que tu sais faire, ma jolie ? — Oui, t'inquiète, tonton, j'ai d'autres ressources... — J'en doute pas, belle comme tu es, avec le corps que tu as et à ton âge, on imagine bien tes autres ressources, Jacques et moi !
Je ne réponds pas et continue de jouer mais je sais bien que leurs regards ne se portent pas que sur le jeu et mes yeux. Car, à la fin de chaque mène, ils attendent que j'ai fini de ramasser mes boules pour ramasser les leurs, vieille technique de mateurs que des copains m'avaient expliquée l'année dernière ! S'ils veulent mater, je vais leur donner de quoi mater ! Je prends alors des poses très suggestives quand je joue ou prends les boules au sol. Je sens leurs regards se poser sur les parties de mon corps que je mets en avant. Et pas que les leurs, car nous ne sommes pas seuls à jouer à la pinède. Tous me regardent, peut-être avais-je trouvé la solution pour que les hommes me regardent... Car, généralement, je suis plutôt du genre réservée et ne me trouve pas belle.
Je suis une grande gigue, comme on dit ici, dans le sud ! Je n'aime pas trop mon corps et je préfère le cacher. J'ai des petits seins sur lesquels j'ai mis deux piercings, je les trouve plus beaux comme ça. J'adore les piercings et, depuis que j'ai eu mes dix-huit ans et que j'habite seule, j'en fais au moins un par mois. Je trouve mon corps plus beau avec ces bijoux. J'ai en quatre à l'oreille gauche, trois à l'oreille droite, deux anneaux sur mon arcade gauche, un onyx sur mon nez, une petite boule sur la langue, deux tiges d'acier qui traversent mes tétons et deux boules asymétriques sur mon nombril. Physiquement, je suis brune, j'ai les yeux marron vert, un tout petit nez, une grande bouche avec des petites lèvres. Pas génial, quoi, mais là, aujourd'hui, avec mon BTS en poche, une promesse d'embauche, mes piercings que j'aime montrer et mes poses sensuelles sous cette chaleur de fin d'après-midi, ils me regardent tous et j'aime ça...
Après m'être exhibée pour le troisième âge, on est remontés au mobil-home pour prendre l'apéro. Ma tante avait déjà tout préparé, les chips, les cacahouètes et l'éternel pastaga ! À la cantonade, mon oncle dit à ma tante :
— On va gagner les concours de pétanque si elle joue comme elle a joué aujourd'hui. Elle sait pas bien jouer mais elle sait comment perturber nos adversaires. — ? ? ? — Oui, une belle petite comme ça ne manque pas d'atouts pour faire mal jouer les autres ! — C'est vrai qu'elle est belle. Elle le serait encore plus si elle n'avait pas tous ces piercings. — Et encore, vous les avez pas tous vus !
Et je tire la langue, montrant ma petite boule d'acier. Ils sont tous étonnés de voir que je m'étais percée la langue. Les questions sur ces trous dans mon corps vont bon train pendant l'apéro. Le repas suit, l'ambiance est sympa, tonton est un peu gai entre le vin et les apéros, ma tante sourit toujours et moi je me sens bien. Je pense que ces vacances vont être extra ! me dis-je en moi-même en m'endormant, réfléchissant aux trucs que j'allais bien pouvoir m'acheter le lendemain matin au marché.
Réveil maxi à huit heures du matin, car avec cette chaleur il est dur de rester plus longtemps dans ce sauna qu'est ma tente. Ma tante est déjà prête pour aller au marché. Je prends rapidement mon petit déjeuner et file m'habiller. Sur le chemin, ma tante me pose plein de questions sur mes piercings, on dirait qu'elle est fascinée, surtout quand je lui ai dit que j'avais les tétons traversés... Après toutes ces questions, je demande à ma tante si je pouvais lui en poser une indiscrète :
— Pourquoi tu te rases-tu entièrement, Tatie ? — Ben, ton oncle adore ça, il trouve que c'est plus beau, plus agréable à caresser. — Mais ça ne te fait pas mal ? — Non, je le fais faire chez l'esthéticienne car je n'y arrive pas toute seule. Ça coûte cher, mais bon, il aime ça et moi, je trouve ça bien aussi. Tu n'as jamais essayé de t'épiler entièrement ? — Non, Tatie, mais je dois dire qu'hier dans la douche, ça m'a troublé de voir ton minou tout lisse. — Tu voudrais essayer ? — Oui, pourquoi pas ? Si tu le fais et que d'autres le font aussi, c'est que ça doit être bien...
Au détour des marchands, ma tante m'appelle et me montre un kit d'épilation bio à la cire naturelle. Elle me demande si je veux toujours essayer. Je réponds positivement. Ma tante l'achète et me dit qu'on le fera cet après-midi pendant que mon oncle sera à la pétanque. Mon sang ne fait qu'un tour. Elle allait m'épiler le minou !
Après avoir acheté différents habits et autres souvenirs d'été, nous rentrons au camping pour déjeuner et nous montrons nos achats à mon oncle, avec essayage, bien sûr... Lorsque mon oncle eut fini son café, il prit son attirail de pétanqueur et alla à la pinède. Pendant que j'aide ma tante à faire la vaisselle, elle ouvre le kit d'épilation, met la cire à chauffer et tire les rideaux... Elle me demande de me déshabiller totalement. Je m'exécute et retire mon tee-shirt. À la vue des deux piercings sur mes tétons, elle me dit :
— Ça doit faire mal, non ? — Non, non, pas du tout, Tatie, c'est comme des boucles d'oreilles mais sur les tétons, c'est tout. — Ça te procure du plaisir ? — Non, mais je trouve ma poitrine pas très belle et je la préfère avec les piercings. — Tu arrives à les enlever et les remettre facilement ? — Oui, regarde.
Ma tante observe méticuleusement ma manœuvre pour les enlever et les remettre. Intriguée, elle s'approche et prend un bijou en main et de l'autre regarde le trou qui traverse mon téton. Elle pose son index et son majeur autour de mon bout tendu, les bouge dans tous les sens et vient coller ses yeux de part et d'autre sur mon sein. Je sens son souffle et ressens une légère excitation qui a pour effet de faire sortir et durcir encore plus mon téton. En me disant qu'elle avait mal pour lui, elle pose un petit bisou dessus, comme quand un enfant se fait bobo, et qu'on lui fait ce petit bisou qui guérit de tous les maux. L'avait-elle fait exprès ou était-ce en toute innocence ? Quoiqu'il en soit, ce tendre baiser après qu'elle m'ait pincé le téton dans tous les sens m'avait transpercée comme un éclair et mise dans un état second.
Ma tante prit la casserole et une spatule pendant que je quittais mon short.
— Si tu veux que je t'épile, il faudra que tu enlèves ta culotte, me dit-elle.
Je m'exécute. Elle me fait allonger à moitié sur la banquette, de sorte que je me retrouve le dos appuyé sur les coussins et mes fesses dans le vide. Elle s'installe face à moi et me fait écarter les jambes. C'est la première fois que j'exhibe mon minou comme ça, face à une femme, et je dois dire que ça me fait tout drôle, mélange d'excitation et de pudeur, mais aussi la crainte d'avoir mal.
Avec sa douceur légendaire, elle pose avec dextérité la spatule de cire sur ma toison. Le contact avec cette cire tiède est agréable. Ma tante est toute à son travail et, après un temps qui me parut des siècles vu ma position inconfortable, la cire avait refroidi. Elle s'applique à enlever la masse devenue dure, d'abord tout doucement, puis d'un coup sec. Aïe ! Je pousse un grand cri qui surprend ma tante et la fait reculer. Puis elle rapproche la tête et dépose deux petits bisous sur mon minou, les mêmes que sur mon sein. J'en suis toute retournée et lui pardonne instantanément la douleur qu'elle m'avait provoquée.
Elle me dit qu'elle va me passer de la crème pour atténuer les rougeurs, mais qu'il reste encore à faire derrière pour que ce soit parfait. Je me retourne et me retrouve à quatre pattes, le cul en l'air. Elle me demande d'écarter les fesses et dépose la cire tout le long de ma raie. Aïe ! Ça m'a fait moins mal que devant, je ne sais pas si c'était volontaire mais j'ai crié encore plus fort...
Ma tante me fait avec empressement des petits bisous et referme mes petits globes sur son visage. Quelle exquise sensation ! Puis je sens ses doigts crémeux et expérimentés passer de ma raie à ma chatte sans ménagement. Je mouille, oui, c'est clair, je mouille comme une folle... Je jouis presque instantanément sous ses caresses prodiguées avec douceur et vigueur. Pourtant, normalement je ne suis pas attirée par les femmes et encore moins par ma tante qui n'a pas un physique facile mais, c'est une certitude, elle m'a fait jouir !
— Ça va, ma chérie, tu n'as pas eu trop mal ? — Non, non, ça va, j'ai surtout été surprise. — Tu as senti comme c'est doux et agréable à caresser ? — Oui, c'est vrai, c'est tout lisse. — Tu vas voir, tu vas y prendre goût... — À me faire épiler ou à me faire caresser ? — Les deux... Si ton oncle apprend que je t'ai épilé le minou et le derrière, il risque de devenir fou. Tu sais, la majorité des hommes mais aussi les femmes adorent ça, et si tu ne mets pas de culotte tu te sentiras comme libre. — Des fois tu ne mets pas de culottes, Tatie ? — Oui, et si tu ne le fais pas tu devrais essayer, c'est une agréable sensation de liberté. — On essaie cet après-midi ? Comme ça, ce sera l'après-midi des découvertes : épilation intégrale et pas de culotte ! — D'accord, Marjorie, robe et pas de sous-vêtements cet après-midi !
Nous rigolons toutes les deux. Je choisis une robe blanche fleurie qui s'arrête à mi-cuisses et mes superbes tongs. Ma tante ne se changeant pas, je comprends qu'elle était nue sous sa robe d'été depuis le marché ce matin, et une certaine excitation me parcourt le corps en repensant à son corps que j'ai vu dénudé la veille dans la douche.
L'idée que nous soyons nues tout le temps me plaît beaucoup et apporte un certain piment à ces vacances qui commencent plutôt chaudement. Et je me sens bien dans ma peau depuis que je suis arrivée. Je change, mon esprit s'ouvre, je commence à trouver une certaine harmonie entre mon esprit et mon corps.
L'après-midi se passe dans le supermarché à côté du camping ; nous voilà nues sous nos robes, arpentant les rayons. Je me sens libre, ouverte à tout, et comme mon oncle et ma tante je souris tout le temps, alors que normalement je suis pas la dernière pour faire une tête de trente-six mètres de long ! Je comprends maintenant leur éternel sourire...
Je ressens une certaine excitation, due à ma nudité cachée seulement par cette petite robe. J'ai l'impression que les gens savent que je ne porte rien, et leur sourire auquel le mien leur répond m'apporte un certain bonheur et un bien-être que je n'avais jamais éprouvé jusqu'à maintenant.
On rentre des courses, mon oncle vient nous aider à décharger le 4x4, il remarque la casserole et la spatule et dit à ma tante :
— Tu pourrais quand même ranger ses affaires. — C'est à moi, tonton. Je vais les ranger. — Tu t'épiles aussi, Marjorie ? — Euh, oui, tonton, Tatie m'a montrée comment faire cet après-midi. — Eh ben, on s'embête pas quand je ne suis pas là, je vois !
Je ne relève pas et continue à ranger ce qu'on a acheté, puis je nettoie la casserole et la spatule. Mon oncle prend nos boules et nous partons vers la pinède rejoindre Jacques et une autre équipe, et je suis toujours nue sous ma robe d'été...
Jacques m'embrasse et me caresse le dos en même temps, comme s'il s'assurait que je n'avais pas de soutien-gorge. Toujours la main dans mon dos, me caressant de haut en bas, il me présente nos adversaires de ce soir, deux hommes et une femme, très sympathiques et très avenants. Je note encore qu'avec mon jeune âge je pourrais être leur petite-fille.
La partie commence et je dois dire que c'est pas très facile, car je joue dans des positions inconfortables pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma nudité. Pensant à cela, j'imagine qu'ils sont nus, eux aussi, sous leurs vêtements, et je me surprends à songer à leur corps flétris, mais encore beaux. Je dois avouer que cette idée m'excite beaucoup et que je souhaiterais les voir tous nus et m'exhiber devant eux. Je suis perdue dans mes rêves quand mon oncle m'attrape par le bras et me glisse à l'oreille :
— Dis donc, Marjorie, c'est une partie à soixante euros alors, s'il te plaît, tu t'appliques et tu joues comme hier, ça va les troubler et nous, Jacques et moi, ça ne nous déplaît pas non plus... Tu devrais déjà défaire un ou deux boutons de ta robe, même si tes seins sont pas très gros, je suis sûr qu'ils essaieront de regarder dedans et ça les fera perdre, ok ? — Euh oui, tonton, lui dis-je toute penaude, mais aussi excitée et tentée de refaire comme hier et de surcroît sans sous-vêtements.
Je défais deux boutons de ma robe, ce qui prouve que je n'ai pas de soutien-gorge. Je m'applique à prendre des positions lascives et sexy devant eux. Plus nous marquons de points, plus ma chatte se trempe. Je sens leurs regards scruter mon corps de haut en bas et comprends que je leur fais impression. Je les imagine avoir un début d'érection en matant mon corps que j'exhibe volontiers. Nous gagnons bien évidemment la partie et mon oncle s'empresse de récupérer la mise tandis que Jacques me félicite en me prenant dans ses bras.
Ses caresses dans mon dos se font plus approfondies. Après avoir vérifié que je n'avais pas de soutien-gorge, il veut savoir si j'ai une culotte ou pas et ses mains descendent volontairement plus bas que mes reins. Après avoir eu la réponse en plaçant un doigt sur mon coccyx, il se tourne vers mon oncle en disant que j'étais une très bonne équipière, et que ce soir nous devrions fêter la victoire en m'invitant à manger au snack et en prenant une bouteille de champagne à la soirée dansante.
Mon oncle dit que c'est une bonne idée et le rendez-vous est fixé à 20 h 30 au snack. De retour au mobil-home, mon oncle me félicite devant ma tante, ne tarissant pas d'éloges sur mes prouesses techniques ! Ma tante et moi descendons vers les douches et la conversation tourne vite fait sur la nudité et la sexualité.
— Alors, Marjorie, tu as apprécié cette première vraie journée de vacances ? — Oui, beaucoup, Tatie, tu m'as fait découvrir beaucoup de choses en une journée, et dire que je vais rester ici pendant deux mois ! Euh... Tatie, vous... vous faites souvent l'amour avec tonton ? — Oui, aussi souvent que possible, et si c'est pas lui, c'est un autre ! — Non ! Tu le fais cocu, tonton ! — Lui aussi... Nous sommes un couple libre et fréquentons d'autres personnes ensemble aussi, si tu vois ce que je veux dire... — Jacques aussi ? — Oui, avec Jacques on prend aussi du bon temps, mais tu verras, on a beaucoup d'amis dans le camping depuis le temps qu'on y est, et puis, chaque année, au camping, il y a des arrivées... — Alors, là, tu me coupes les jambes ! Jamais je n'aurais imaginé que toi et tonton étiez comme ça ! Dire que je n'en savais rien alors que ça fait vingt ans que je viens tous les étés. Vous faites ça depuis longtemps ? — Tu es bien curieuse, Marjorie ! Ça fait une bonne dizaine d'années maintenant, mais on faisait attention à ce que tu ne remarques rien.
Sidérée, je rentre dans ma douche, active l'infrarouge qui fait couler l'eau, je crois que j'ai bien besoin de me laver et de réfléchir. Cette journée et cette dernière conversation avec ma tante me trouble vraiment. En me lavant, je repense à tout ce qui s'est passé et à tout ce qui s'est dit. Mon émoi est fort et je constate pendant que je me lave que mes tétons sont durs. Toute cette excitation en si peu de temps... Ma main s'attarde sur mes seins et je repense à ma tante que m'en pétrissait le bout et le pinçait. Mon autre main descend sur ma chatte si douce... et maintenant toute lisse. Mon index me confirme que je suis toute mouillée. Je titille fébrilement mon clito et imagine ma tante, mon oncle et Jacques. Mon orgasme vient à une vitesse folle, ma chatte est inondée de cyprine.
Ma tante avait raison, mon minou tout lisse est beaucoup plus agréable à caresser. C'est un vrai régal ! Je ne veux pas m'arrêter quand ma tante frappe à la porte de ma douche pour me dire qu'elle va rentrer seule au mobil-home si je ne me dépêche pas. Je lui réponds d'une voix hésitante de m'attendre, que j'ai fini.
Deuxième fois que je jouis aujourd'hui et ce n'est que le début des vacances...
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